Les patates, c'est le voisin qui nous les donne, les oeufs aussi et souvent de quoi faire la soupe...
l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
607 pianomineur, 607!
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
oh tu sais moi les peugeots ...burns300 a écrit :607 pianomineur, 607!
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
Bonsoir!
J'ai rendu visite au magasin-pianos de Brive aujourd'hui. Personne in it, super. Une bonne dizaine de droits et 3 queues (Petrof 192) dont un d'occase (20000€ neuf, 10000€ d'occase). Le patron se lance sur moi, je me présente comme débutant d'un an de numérique, curieux d'accoustique. Il m'a présenté des droits (de 4500€ à 10000€) et a joué dessus (le prélude BWV846 et la sonate Moonlight, tout ça à fond les manettes, horrible). J'ai pu jouer un peu dessus et tout de suite, j'ai constaté des défauts: un sol# dont le son est relayé, après l'attaque, d'un sifflement/grésillement aigü du plus désagréable effet et ce, sur 2 pianos différents. "c'est rien dit-il, c'est l'accord". Bon, il veut m'embobiner
Quand j'ai joué une gamme, il y avait de temps en temps, une note sourde bordée de deux notes claires. Harmonisation à faire? pas de commentaire....
Les notes basses, jouées individuellement ne m'ont pas emballé.
Les notes médium et aigües me conviennent, rien à dire.
Déjà, à Nantes c'était un peu comme çà. J'aime pas du tout!
Ensuite, par curiosité, j'ai demandé de jouer (un peu) sur un queue neuf et sur l'occase: là, y'a pas photo! C'est ça que je veux, un queue...
Pour conclure (provisoirement):
1. je suis toujours incapable de diagnostiquer la qualité d'un piano droit parmi d'autres droits (pour moi, tous pareils)
2. le son d'un queue dépasse largement le son d'un droit (de ceux que j'ai essayés)
3. ayant déjà de sérieuses difficultés d'installation, d'utilisation et d'entretien d'un droit, je ne crois pas me diriger vers cette solution.
4. je préfère patienter quelques années afin de construire une pièce de vie dans ma grange, y mettre le queue de mes rêves.
5. reste qu'il me parait dangereux pour mon avenir pianistique, de continuer à travailler sur un clavier de numérique, je vais orienter mes recherche vers un hybride (d'occase) pour faire la jonction: maintenant->queue de mes rêves.
6. j'ai ressenti très nettement un gros sectarisme dès que j'ai parlé hybride: j'aime pas
le piano est un moyen de faire de la musique, pas un objectif...
Voici, en quelques lignes mon état d'âme actuel.....
Ne tirez pas sur le pianiste
J'ai rendu visite au magasin-pianos de Brive aujourd'hui. Personne in it, super. Une bonne dizaine de droits et 3 queues (Petrof 192) dont un d'occase (20000€ neuf, 10000€ d'occase). Le patron se lance sur moi, je me présente comme débutant d'un an de numérique, curieux d'accoustique. Il m'a présenté des droits (de 4500€ à 10000€) et a joué dessus (le prélude BWV846 et la sonate Moonlight, tout ça à fond les manettes, horrible). J'ai pu jouer un peu dessus et tout de suite, j'ai constaté des défauts: un sol# dont le son est relayé, après l'attaque, d'un sifflement/grésillement aigü du plus désagréable effet et ce, sur 2 pianos différents. "c'est rien dit-il, c'est l'accord". Bon, il veut m'embobiner
Les notes basses, jouées individuellement ne m'ont pas emballé.
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Déjà, à Nantes c'était un peu comme çà. J'aime pas du tout!
Ensuite, par curiosité, j'ai demandé de jouer (un peu) sur un queue neuf et sur l'occase: là, y'a pas photo! C'est ça que je veux, un queue...
Pour conclure (provisoirement):
1. je suis toujours incapable de diagnostiquer la qualité d'un piano droit parmi d'autres droits (pour moi, tous pareils)
2. le son d'un queue dépasse largement le son d'un droit (de ceux que j'ai essayés)
3. ayant déjà de sérieuses difficultés d'installation, d'utilisation et d'entretien d'un droit, je ne crois pas me diriger vers cette solution.
4. je préfère patienter quelques années afin de construire une pièce de vie dans ma grange, y mettre le queue de mes rêves.
5. reste qu'il me parait dangereux pour mon avenir pianistique, de continuer à travailler sur un clavier de numérique, je vais orienter mes recherche vers un hybride (d'occase) pour faire la jonction: maintenant->queue de mes rêves.
6. j'ai ressenti très nettement un gros sectarisme dès que j'ai parlé hybride: j'aime pas
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
Proposer des pianos non accordés dans un show room : la honte !burns300 a écrit :Bonsoir!
J'ai rendu visite au magasin-pianos de Brive aujourd'hui. Personne in it, super. Une bonne dizaine de droits et 3 queues (Petrof 192) dont un d'occase (20000€ neuf, 10000€ d'occase). Le patron se lance sur moi, je me présente comme débutant d'un an de numérique, curieux d'accoustique. Il m'a présenté des droits (de 4500€ à 10000€) et a joué dessus (le prélude BWV846 et la sonate Moonlight, tout ça à fond les manettes, horrible). J'ai pu jouer un peu dessus et tout de suite, j'ai constaté des défauts: un sol# dont le son est relayé, après l'attaque, d'un sifflement/grésillement aigü du plus désagréable effet et ce, sur 2 pianos différents. "c'est rien dit-il, c'est l'accord". Bon, il veut m'embobinerQuand j'ai joué une gamme, il y avait de temps en temps, une note sourde bordée de deux notes claires. Harmonisation à faire? pas de commentaire....
Les notes basses, jouées individuellement ne m'ont pas emballé.
Les notes médium et aigües me conviennent, rien à dire.
Déjà, à Nantes c'était un peu comme çà. J'aime pas du tout!![]()
Ensuite, par curiosité, j'ai demandé de jouer (un peu) sur un queue neuf et sur l'occase: là, y'a pas photo! C'est ça que je veux, un queue...![]()
Pour conclure (provisoirement):
1. je suis toujours incapable de diagnostiquer la qualité d'un piano droit parmi d'autres droits (pour moi, tous pareils)
2. le son d'un queue dépasse largement le son d'un droit (de ceux que j'ai essayés)
3. ayant déjà de sérieuses difficultés d'installation, d'utilisation et d'entretien d'un droit, je ne crois pas me diriger vers cette solution.
4. je préfère patienter quelques années afin de construire une pièce de vie dans ma grange, y mettre le queue de mes rêves.
5. reste qu'il me parait dangereux pour mon avenir pianistique, de continuer à travailler sur un clavier de numérique, je vais orienter mes recherche vers un hybride (d'occase) pour faire la jonction: maintenant->queue de mes rêves.
6. j'ai ressenti très nettement un gros sectarisme dès que j'ai parlé hybride: j'aime pasle piano est un moyen de faire de la musique, pas un objectif...
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Les pianos à queue : je n'ai même pas essayé (trop dangereux
Mois aussi je projette un jour d'avoir un queue, quand j'aurai la place et quand je serai jouer.
Je ne sais pas quand je serais jouer, mais la place je ne l'aurais pas avant une bonne dizaine d'années ...
Qu'est ce que tu appelle un hybride ?
un piano avec systéme silent, ou un numérique avec un vrai clavier ?
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
On avait déjà un droit, j'ai acheté il y a 7 ans un 1/4 de queue à Nantes.
Un Pleyel de 1910 qui me semblait en bon état. Il l'était, mais ce n'est que maintenant que je le sais.
Le vendeur qui m'avait laissé jouer trouvait mon jeu "subtil" et "fin". J'en hurle de rire maintenant. Je reprenais après 30 ans d'arrêt... Et j'avais eu 2 ans de cours.
Bon,
J'ai choisi ce piano pour 2 raisons non musicales:
-C'est un beau meuble qui n'est pas laqué noir ou blanc.
-Et surtout, on ne joue pas devant un mur.
C'est vrai, le son me plaisait aussi.
Le droit, c'est aussi un Pleyel d'il y a 25-30 ans, fabriqué sous licence à Braunschweig. Peu joué et en très bon état. Je n'ai jamais joué sur un droit aussi bon (ça n'engage que moi). Mais je préfère largement le 1/4 de queue.
Alors, mon cher Burns300, ne vise que ce qui te plait: le 1/4 ou 1/2 queue!!!
Quant aux occases, les discussions sur le son des pianos, leur harmonisation, les appareils qui "améliorent" ceci ou cela, eh bien ça me laisse songeur. Je suis plus sensible à la qualité de l'accord qu'à telle ou telle "profondeur des basses" ou "subtilité des aigus". Et comme toi j'ai du mal avec les vibrations parasites.
Ces deux soucis sont souvent mineurs, un bon accord et un peu de ménage dans les étagères pour enlever ce qui grésille sur telle ou telle note suffit.
Toi et moi on aura certainement jamais assez de culture pianistique pour aller plus loin dans les subtilités.
Alors, comme on a certainement quand même le minimum syndical de connaissances sur les pianos (grâce à ce forum), il faut laisser choisir son oreille.
Et j'insiste sur le plaisir de ne pas jouer face à un mur!!!
Un Pleyel de 1910 qui me semblait en bon état. Il l'était, mais ce n'est que maintenant que je le sais.
Le vendeur qui m'avait laissé jouer trouvait mon jeu "subtil" et "fin". J'en hurle de rire maintenant. Je reprenais après 30 ans d'arrêt... Et j'avais eu 2 ans de cours.
Bon,
J'ai choisi ce piano pour 2 raisons non musicales:
-C'est un beau meuble qui n'est pas laqué noir ou blanc.
-Et surtout, on ne joue pas devant un mur.
C'est vrai, le son me plaisait aussi.
Le droit, c'est aussi un Pleyel d'il y a 25-30 ans, fabriqué sous licence à Braunschweig. Peu joué et en très bon état. Je n'ai jamais joué sur un droit aussi bon (ça n'engage que moi). Mais je préfère largement le 1/4 de queue.
Alors, mon cher Burns300, ne vise que ce qui te plait: le 1/4 ou 1/2 queue!!!
Quant aux occases, les discussions sur le son des pianos, leur harmonisation, les appareils qui "améliorent" ceci ou cela, eh bien ça me laisse songeur. Je suis plus sensible à la qualité de l'accord qu'à telle ou telle "profondeur des basses" ou "subtilité des aigus". Et comme toi j'ai du mal avec les vibrations parasites.
Ces deux soucis sont souvent mineurs, un bon accord et un peu de ménage dans les étagères pour enlever ce qui grésille sur telle ou telle note suffit.
Toi et moi on aura certainement jamais assez de culture pianistique pour aller plus loin dans les subtilités.
Alors, comme on a certainement quand même le minimum syndical de connaissances sur les pianos (grâce à ce forum), il faut laisser choisir son oreille.
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
non, non, tous les pianos étaient accordés, mais peut-être pas suffisamment harmonisés, quoique ce sifflement aigu? Pour une guitare, je dirai qu'une corde vibre soit au sillet, soit au chevalet (usure de l'encoche?)Proposer des pianos non accordés dans un show room : la honte !
t'as raison, c'est à y perdre la têteLes pianos à queue : je n'ai même pas essayé (trop dangereux )
pareil, évidemment, mais comme ça risque de prendre du temps, bin, on saura jouer quand le moment sera venu!d'avoir un queue, quand j'aurai la place et quand je serai jouer
un numérique avec un vrai clavier. Y'a pas que ça, chaque note est échantillonnée individuellement en double (gauche et droite). Les touches sont en bois, etc...Qu'est ce que tu appelle un hybride ?
un piano avec systéme silent, ou un numérique avec un vrai clavier ?
Je suis très sensible aux défauts d'harmonisation. Cela doit venir de la pratique de la guitare où c'est un vrai problème, non résolu d'ailleurs...
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
Pour l'echantillonage je vois ce que tu veux dire. Malgré mon faible passé musical, je ne supporte plus l'echantillonage de mon Roland HP 102 (que je te deconseille donc au passage).burns300 a écrit :
un numérique avec un vrai clavier. Y'a pas que ça, chaque note est échantillonnée individuellement en double (gauche et droite). Les touches sont en bois, etc...
Je suis très sensible aux défauts d'harmonisation. Cela doit venir de la pratique de la guitare où c'est un vrai problème, non résolu d'ailleurs...
D'ailleurs je ne comprends pas qu'on arrive pas a faire de meilleurs echantillonages que cela en 2007
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
c'est pareil avec mon P140. J'ai constaté au fil du temps que je travail dessus, un gros défaut d'harmonisation. C'est dù, je pense, au fait qu'il n'y a que quelques notes d'échantillonnées et les autres en sont déduites (gain en mémoire, baisse des coùts). Pour s'en apercevoir, il suffit de monter tranquillement toutes les notes du clavier en surveillant la continuité du timbre. Les quelques droits que j'ai approchés ont montré des discontinuités (ex: note riche et claire suivie d'une note pauvre, elle-même suivie d'une note plus clair, etc...).
A cause de ce défaut, je n'arrive pas à ressortir la mélodie de la Moonligh sonata de manière constante. Je dois adapter le jeu pour compenser le défaut
Il y a des endroits où ça ressort tout seul et d'autres où ça ne ressort quasiment pas....
Mais c'est pas rédibitoire, je m'y suis habitué et je me régale à jouer ce morceau et les autres aussi. Mais le jour où je joue la sonate sur un autre piano....surprise
A cause de ce défaut, je n'arrive pas à ressortir la mélodie de la Moonligh sonata de manière constante. Je dois adapter le jeu pour compenser le défaut
Mais c'est pas rédibitoire, je m'y suis habitué et je me régale à jouer ce morceau et les autres aussi. Mais le jour où je joue la sonate sur un autre piano....surprise
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
t'es tu renseigné sérieusement sur le coût de la livraison d'un piano droit ?
tu t'orientes vers un compromis ce que je peux comprendre mais tu as des exigences musicales qui vont à mon avis de poser problème avec un numérique quel qu'il soit. Tous les droits ne se ressemblent pas, choisis en un dont tu sais qu'il sera pas difficile à revendre le moment venu
Et pourquoi une location, tu envisages le queue pour dans combien de temps ?
tu t'orientes vers un compromis ce que je peux comprendre mais tu as des exigences musicales qui vont à mon avis de poser problème avec un numérique quel qu'il soit. Tous les droits ne se ressemblent pas, choisis en un dont tu sais qu'il sera pas difficile à revendre le moment venu
Et pourquoi une location, tu envisages le queue pour dans combien de temps ?
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
Non, j'ignore ce coùt, en plus il faut passer la bête par la fenêtre. Je m'en inquièterai quand je me déciderai mais, un droit....non....un queue....OUIt'es tu renseigné sérieusement sur le coût de la livraison d'un piano droit ?
c'est juste, il me faut à tout prix faire l'essai de plusieurs hybrides. Si ces essais ne sont pas concluants, je mangerai du P140 plusieurs années, à moins que....tu t'orientes vers un compromis ce que je peux comprendre mais tu as des exigences musicales qui vont à mon avis de poser problème avec un numérique quel qu'il soit.
à moins que....je trouve un droit sympaTous les droits ne se ressemblent pas, choisis en un dont tu sais qu'il sera pas difficile à revendre le moment venu
oui, j'y ai pensé, à la location, mais cela ne resoud pas le problème du choix....puis-je louer cet IQ28? M'sieur le vendeur?Et pourquoi pas une location?
entre 5 et 10 ans....là, pour le coup, je serais vraiment vieux!tu envisages le queue pour dans combien de temps ?
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
Mon cher ka8b, je suis désolé mais je ne vois ton post que maintenant. J'y réponds.
J'en trouve des tonnes sur Youtube en commentaire des vidéos que j'y place.
c'est bien le genre de témoignage qui me chatouille le nezLe vendeur qui m'avait laissé jouer trouvait mon jeu "subtil" et "fin".
J'en trouve des tonnes sur Youtube en commentaire des vidéos que j'y place.
un million de fois: d'accord avec toi. Je trouve cette situation déprimanteEt surtout, on ne joue pas devant un mur.
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je te suis à 200%Quant aux occases, les discussions sur le son des pianos, leur harmonisation, les appareils qui "améliorent" ceci ou cela, eh bien ça me laisse songeur. Je suis plus sensible à la qualité de l'accord qu'à telle ou telle "profondeur des basses" ou "subtilité des aigus". Et comme toi j'ai du mal avec les vibrations parasites.
300%Toi et moi on aura certainement jamais assez de culture pianistique pour aller plus loin dans les subtilités.
merci ka8bAlors, mon cher Burns300, ne vise que ce qui te plait: le 1/4 ou 1/2 queue!!!
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
ou mortburns300 a écrit :entre 5 et 10 ans....là, pour le coup, je serais vraiment vieux!tu envisages le queue pour dans combien de temps ?
si financièrement c'est jouable maintenant, ça mérite réflexion
se donner des objectifs à 5-10 ans c'est valable tant qu'on a pas dépassé la trentaine
non non, pas pessimiste, réaliste. Après 40 ans et a fortiori plus tard on a suffisamment de lisibilité financière pour savoir ce qui est faisable ou pas. Ce qui n'est pas faisable aujourd'hui risque de ne pas l'être davantage demain
c'est pour ça que la quarantaine est une période charnière on a beaucoup plus de clés pour prendre des décisions, une seule inconnue, la date de fin
-
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
si tu envisage de mettre 4000 € dans un numérique essaie de trouver un quart d'occasion type g2 en cherchant bien si tu as un peu le temps tu devrais trouver quitte à rajouter un petit supplément, au moins tu te fais plaisir,
et puis je pense qu'il faut arrêter de s'affoler avec ces histoires de température et d'humidité dans la pièce où se trouve le piano, les pianos modernes sont bien plus résistants à tous ces phénomènes que les pianos plus anciens, et je ne parle pas de la qualité de l'isolation et du chauffage dans nos habitations
je suis sur que si on nous mettait entre les mains le piano qu' utilisait Chopin à Nohant on trouverait que c'est une véritable casserole
et puis je pense qu'il faut arrêter de s'affoler avec ces histoires de température et d'humidité dans la pièce où se trouve le piano, les pianos modernes sont bien plus résistants à tous ces phénomènes que les pianos plus anciens, et je ne parle pas de la qualité de l'isolation et du chauffage dans nos habitations
je suis sur que si on nous mettait entre les mains le piano qu' utilisait Chopin à Nohant on trouverait que c'est une véritable casserole
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
Je ne le ressens pas comme tu le décris. J'ai beaucoup plus de possibilités financières maintenant que quand j'étais actif.pianomineur a écrit :c'est pour ça que la quarantaine est une période charnière on a beaucoup plus de clés pour prendre des décisions, une seule inconnue, la date de fin
Je dois seulement patienter 4 ans pour achever de payer mon carrosse...
oui, c'est juste et tu me suggères une autre possibilité:bernard183 a écrit :si tu envisage de mettre 4000 € dans un numérique essaie de trouver un quart d'occasion type g2 en cherchant bien si tu as un peu le temps tu devrais trouver quitte à rajouter un petit supplément, au moins tu te fais plaisir
1. ne pas invertir maintenant dans un super numérique,
2. à la place construire cette pièce de vie dans ma grange
3. attendre 2011
4. chercher, essayer, acheter un queue
pas mal...!
inconvénient: manger pendant 4 ans du P140....mauvais ça
De toutes manières, c'est bien ce qu'il va se passer si je trouve que le GT2 ne vaut pas un clou!
je suis les recommandations de nos experts forumistesje pense qu'il faut arrêter de s'affoler avec ces histoires de température et d'humidité dans la pièce où se trouve le piano
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
Dans mon domaine, la deformation professionelle cela existe. Tout les gens qui n'ont pas une hygiene de vie parfaite ne sont pas malades et les vieillards sont plus fragiles que les jeunes. Le paradoxe, c'est qu'à force d'avoir peur de mourir on ne finit plus par vivre.burns300 a écrit :
je suis les recommandations de nos experts forumistes
Il en est peut être de même avec les pianos ...
PS : je suis sur qu'amenager la grange est une idée qui devrait plaire à ta femme
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c'est elle qui me l'a suggéréevelours a écrit :PS : je suis sur qu'amenager la grange est une idée qui devrait plaire à ta femme
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
J'aurais dut m'en douterburns300 a écrit :c'est elle qui me l'a suggéréevelours a écrit :PS : je suis sur qu'amenager la grange est une idée qui devrait plaire à ta femme
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moi je n'ai pas attendu qu'on me mette dehors je suis allé direct au garage,
12 m2 isolés dessus, dessous, sur les cotés, je fais tout le bruit que je veux, un rêve
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je vois...velours a écrit :Le paradoxe, c'est qu'à force d'avoir peur de mourir on ne finit plus par vivre.
Il en est peut être de même avec les pianos ...
Dans tout projet, il y a des contraintes qu'on se fixe au départ et qu'on tente de satisfaire.
Il arrive, surtout en début de projet, quand tout est théorique, qu'on ne puisse pas satisfaire à toutes les contraintes.
Alors, soit on dit que le projet, tel que défini, est irréalisable, soit, on commence à desserrer quelques contraintes, en commençant par les moins importantes.
Ainsi, on obtient une, voire plusieurs solutions.
Pour plusieurs solutions, on peut resserrer les contraintes pour n'en obtenir qu'une, qu'on examine.
Si elle nous plait pas, on redessère et on examine une autre...et ainsi de suite, jusqu'à satisfaction
j'vous ennuie peut-être?
mon projet:
1. attiré par le GT2 => l'essayer pour le valider
2. budget normal en 2011
3. grange aménageable
les contraites:
1. percévérer dans la pratique du piano
2. faible budget (soit un GT2, soit la grange)
3. assez du toucher P140: il me faut travailler sur un clavier de vrai piano
4. piano droit....non...(pour un tas de raisons)
5. heu....un ch'tit queue....à terme
faire tourner tout ça dans un système expert pour savoir....
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Re: l'histoire de l'acquisition de mon premier piano...
Les contraintes, je sais ce que c'est.
Ma contrainte, c'est que je n'avais pas la place pour un droit.
L'autre contrainte c'est le budget. Comme toi, je vais me mettre un autre emprunt sur le dos pour achever les travaux dans ma maison, et je ne pourrais en faire un autre, que quand celui-ci sera remboursé.
A priori je ferai un emprunt sur 5 ans.
Après libre à moi, d'acheter le queue de mes reves , si tout comme toi je persevere (mais peut-on appeler cela une contrainte ? )
Je pense que ta demarche est tout à fait judicieuse. La seul limite pour ton apprentissage, d'avoir accés à un vrai clavier piano. C'est le seul ecueil à eviter.
Ma contrainte, c'est que je n'avais pas la place pour un droit.
L'autre contrainte c'est le budget. Comme toi, je vais me mettre un autre emprunt sur le dos pour achever les travaux dans ma maison, et je ne pourrais en faire un autre, que quand celui-ci sera remboursé.
A priori je ferai un emprunt sur 5 ans.
Après libre à moi, d'acheter le queue de mes reves , si tout comme toi je persevere (mais peut-on appeler cela une contrainte ? )
Je pense que ta demarche est tout à fait judicieuse. La seul limite pour ton apprentissage, d'avoir accés à un vrai clavier piano. C'est le seul ecueil à eviter.
Rendez-vous avec moi même dans 10 ans devant un clavier