Aujourd'hui, j'aimerais ouvrir un sujet sur des morceaux techniquement effrayants, difficiles, impressionnants...
Listez des morceaux dans les messages et leur difficulté technique.
Moi, ce qui me passe par la tête:
-Totentanz (paraphrases sur le dies irae) de Franz Liszt. Cette pièce contient quasiment toutes les techniques pianistiques. Le plus effrayant, pour moi, sans cette oeuvre, ce sont les fameux glissandos qui vous bousillent les ongles; les accords successifs (principalement au début) et j'en passe.
-Le 3ème concerto de Rachmaninov. Un bijoux celui-là (d’ailleurs ma pièce préférée). Quoi de mieux que des grands sauts, une magnifique cadence et des arpèges décourageants?
-Les étude de Bartok n°2 et 3 op.18. Eviter de voire la partition, vous risquerez d'être aveugle
 .
 .-La campanella de Liszt, un morceau fin, subtil mais délicat.
Et vous, que proposez-vous ?



 .
 . Dans les passages digitalement difficiles, cela signifie que tu soignes moins le son? Je pense justement que dans ces passages à grands effets, le son a autant d'importance que pour un morceau plus "facile" et/ou plus intime. J'ai beaucoup plus de plaisir à travailler le son sur un Schubert que sur un Rachmaninov. Je m'étais régalé l'an dernier de travailler le superbe 2ème Klavierstucke D.946... Par contre la MG du 5ème prélude op.23 de Rachmaninov (partie lente), j'avais beaucoup galéré pour avoir un son "intéressant" empreint de romantisme et  lyrisme...
 Dans les passages digitalement difficiles, cela signifie que tu soignes moins le son? Je pense justement que dans ces passages à grands effets, le son a autant d'importance que pour un morceau plus "facile" et/ou plus intime. J'ai beaucoup plus de plaisir à travailler le son sur un Schubert que sur un Rachmaninov. Je m'étais régalé l'an dernier de travailler le superbe 2ème Klavierstucke D.946... Par contre la MG du 5ème prélude op.23 de Rachmaninov (partie lente), j'avais beaucoup galéré pour avoir un son "intéressant" empreint de romantisme et  lyrisme...